POUR SA SIXIEME REALISATION , JMK NOUS OFFRE UNE SUPERBE BUGATTI 35C , UN MYTHE !!

buga

La Bugatti Type 35 « Grand Prix » est une automobile sportive de la seconde moitié des années 1920 développée par le constructeur automobile français Bugatti. Forte d'un palmarès toujours inégalé, avec plus de deux mille victoires en compétition dont cinq succès consécutifs à la Targa Florio, elle est non seulement la Bugatti la plus célèbre mais compte également parmi les voitures ayant le plus marqué l’histoire de l’automobile. La naissance du mythe des « Pur Sang » Bugatti date d’ailleurs de cette époque.

Conçue à partir de 1924 dans les ateliers Bugatti de Molsheim-Dorlisheim en Alsace, la Type 35 connaît de nombreuses évolutions mécaniques, portant essentiellement sur son moteur à huit cylindres en ligne, donnant naissance à différentes versions : Type 35, 35A, 35C, 35T, 35B, 37, 37A, 39 et 39A. Généralement considérée comme particulièrement élégante, la Type 35 est également à l’origine d’innovations techniques majeures dans l’automobile. Près de 640 exemplaires seront construits jusqu’en 1930.

                                                                                         source wikipedia 


 

BUGATTI MODELE 6C

  CODE COULEUR CAPOTE-TOIT ROUES SIEGES AUTRES
Bugatti 1928 6A BLEU   ALUMINUIM ROUGE  
  6B BLEU   ALUMINUIM ROUGE CALANDRE PEINTE EGALEMENT SUR LE COTE
  6C BLEU   ALUMINUIM ROUGE SUSPENSION EN PLASTIQUE CHROMEE JAUNE - CALANDRE BRUT
  6D BLEU   ALUMINUIM ROUGE CERISE VOIE ETROITE - PROTO ? OU TUNNING DE L'EPOQUE ?
  6E BLEU   ALUMINUIM ROUGE LEVIER DE VITESSE DIFFERENT SERIE ALLEMANDE  PEINTURE TRES BRILLANTE
  6F BLEU   ALUMINUIM ROUGE  BOUCHON JAUNE
  6G BLEU   ALUMINUIM ROUGE LEVIER DE VITESSE DIFFERENT SERIE ALLEMANDE
NUMERO EN DECALCO SUR PARTIE ARRIERE

 NOUS ALLONS ICI COMPARER LES VERSIONS
 

CONTOUR CALANDRE BLEU 6A - 6B
SUSPENSIONS AVANT EN PLASTIQUE DORE 6C BRUT EN ZAMAC 6A
(configuration non d'origine puisque ici la calandre est peinte sur le cote elle devrait etre BRUT)

SUSPENSIONS AVANT EN PLASTIQUE DORE EN DETAIL


 

-  6A & 6D - - 6D -
- 6E - - 6F -
- 6G -



ET COMMENT NE PAS PENSER A LA SUPERBE REALISATION DE NOTRE AMI JACQUES-YVES PARIZE POUR LE 3eme ANNIVERSAIRE DU SITE !!


Au-delà même de ses victoires en compétition, la Bugatti Type 35 remporte très vite un franc succès auprès du public pour « la finesse et l’élégance de son dessin , à l'image du radiateur cerclé de chrome ou encore des biellettes de contrôle nickelées16. Biplace depuis que le règlement des Grands Prix oblige la présence d’un mécanicien au côté du pilote, la Type 35 fait notamment sensation, aujourd’hui encore, grâce à ses roues en aluminium coulé à huit branches plates, plus légères et plus efficacement refroidies que des roues à rayons classiques17 et dessinées pour éviter de déjanter lors d’une crevaison18. Les tambours de frein actionnés par câble Bowden y sont d’ailleurs intégrés, une « innovation considérable à cette époque qui offre entre autres l’avantage en compétition de pouvoir inspecter aisément l’état des garnitures de freins lors du remplacement des roues18. La Type 35 est également reconnaissable au saute-vent disposé uniquement devant le pilote, privant le mécanicien de toute protection au vent, ainsi qu’au carrossage positif important du train avant. Les passagers sont, de surcroît, assis très haut et font face au tableau de bord en aluminium bouchonné et au volant en bois à quatre branches métalliques.

 
Le moteur, bien que dérivé de celui des Bugatti Type 30 et Type 32, fait également preuve d’innovation. Il s’agit toujours d’un moteur à huit cylindres en ligne atmosphérique, constitué en fait de deux blocs en aluminium de 4 cylindres – l’utilisation généralisée de matériaux légers comme l’aluminium permet d’obtenir une « excellente répartition des masses »17 et un poids contenu à environ seulement 750 kg –, d’une cylindrée de 1 991 cm3 (alésage de 60 mm et course de 88 mm). Alimenté par deux carburateurs Zenith ou Solex, la puissance maximale développée de 100 ch est atteinte à 5 000 tr/min. La distribution assurée par un simple arbre à cames en tête actionne trois soupapes (deux d’admission et une d’échappement18) par cylindre, le vilebrequin démontable doté de cinq paliers contre trois auparavant rend inutile une lubrification haute pression18 et l’embiellage monté sur roulements à billes et à rouleaux11 permet d’atteindre un régime moteur supérieur à 6 000 tr/min11, une valeur « considérable » pour l'époque11,20. Associé à une boîte de vitesses mécanique à 4 rapports non synchronisés dont le levier est placé à l’extérieur de l’habitacle comme sur toutes les voitures de grand prix des années 1920, ce moteur permet d’atteindre une vitesse maximale de 184 km/h.

Contrairement au moteur, châssis et carrosserie sont entièrement nouveaux. Les longerons à section évolutive sont dimensionnés en fonction des contraintes subies, contribuant à l'optimisation du poids. L'essieu avant formé d'une seule pièce, « une véritable œuvre d'art », est entièrement poli21 et sa « réalisation [par les forgerons de Molsheim] constitue une prouesse technique .
Sa légèreté liée à la structure creuse permet de diminuer les masses non suspendues, la suspension avant étant assurée par des ressorts à lames semi-elliptiques tandis que l’essieu arrière dispose de ressorts quart-elliptiques.

Toutes ces caractéristiques techniques offrent un excellent comportement routier à la Type 35 malgré une garde au sol particulièrement élevée ; sa capacité à prendre des virages à vive allure ainsi que sa manœuvrabilité sont d’ailleurs ses caractéristiques les plus mises en valeur.
La Type 35 étant une propulsion, son pilote doit prendre garde à ne pas brusquement accélérer sous peine de voir l’arrière dériver.
Elle est par ailleurs réputée pour sa fiabilité, Bugatti ayant généralement opté pour « les meilleurs matériaux à travers le monde  ; l’acier utilisé pour la Type 35 est ainsi issu des usines de Sheffield, en Angleterre.


 

 

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